Une journée gourmande avec Alain Chartier et Bernard Rambaud.
Pour les gourmands, voici le programme de l’école des desserts !
Une journée gourmande avec Alain Chartier et Bernard Rambaud.
Pour les gourmands, voici le programme de l’école des desserts !
Vos produits entre les mains d’un cuisinier et sous l’oeil d’un photographe : faites mijoter l’ensemble pour obtenir une création de recette sur mesure.
Je vous propose, en collaboration avec Laurent Drunat, la création et la réalisation de recettes personnalisées pour magazine, site web, blog, fiche produit, etc.
Merci à la Fruitière du Val d’Evel pour les « perles de saveur ».
Avec la participation de Nicolas Dessauvages architecte
et par ordre d’apparition : entreprise Guihard, MLC, Néotom, O-Hervieux.
Voir les photos de la construction du studio de prise de vue
Suite à l’envie de Cécile Riou de partager son attachement à la Bulgarie, l’idée est venue de réaliser un ouvrage sur la cuisine regroupant les recettes les plus représentatives de la cuisine Bulgare et illustré de photos.
Aujourd’hui, la Bulgarie suscite de plus en plus d’intérêt, pourtant peu la connaisse et très peu d’ouvrages lui sont consacrés. Nous savons le Français gastronome. Cela pourrait être une manière originale d’apporter une meilleure connaissance de ce pays à tous ces amateurs de bonnes cuisines… et de voyages.
« Light » est une webrevue photographique indépendante, créée en 2008 à l’initiative d’un collectif réunissant photographe, architecte, paysagiste et chef-opérateur, tous réunis autour du même médium, la photographie, et d’un même questionnement : le territoire et le paysage. Ils m’ont invité dans leur numéro 3.
Le salon Intermat présente l’exposition « Paysage industriel ».
Une typologie des engins de levage et de manutention : grue, portique, roue, pelle… Des photographies qui font partie d’une série consacrée aux zones portuaires de commerce ; à découvrir en grand format dans l’inter passage des halls 5A et 5B.
Intermat est le salon qui réunit les principaux acteurs de la fabrication des matériels de construction.
Du 20 au 25 avril 2009, Parc des expositions de Paris Nord Villepinte – France.
Sur le Rhône, à bord d’un pousseur de la compagnie fluviale de transport.
Photographies sur les traces de Guillaume Apollinaire au front durant la première guerre mondiale
Cimetière Menils les Hurlus
Je suis partie sur les traces d’Apollinaire, mais aussi sur celle de tous les autres combattants. Le poète représente un cas singulier et emblématique, de même que l’univers poétique et photographique. Ces photographies reflètent ma vision des traces de la guerre 1914-1918 ainsi que des lieux de mémoire.
Des lectures des lettres et poèmes de Guillaume Apollinaire, ainsi que les journaux de marche de ses régiments, j’en ai tiré la base de mon périple photographique. Un premier séjour dans l’Aisne et la Marne, m’a fait découvrir l’étendu du « désastre » Je ne pensais pas qu’un paysage pût garder autant de traces…
J’y suis retourné à plusieurs reprise…… J’ai eu aussi la possibilité de photographier les «villages perdu». Ce sont cinq villages, détruits pendant les combats statiques de la Première Guerre: Hurlus, Perthes-lès-Hurlus, Le-Mesnil-lès-Hurlus, Ripont et Tahure, et comme en 1918, il en restait «peu de choses» ; l’armée française y installa le camp de Suippes. Les images sont réalisées en noir et blanc. Les lieux des prises de vue sont indiqués avec leurs coordonnées polaires.
« C’est un banquet que s’offre la terre », extrait du poème « Merveille de la guerre » Calligrammes.
Le 4 décembre 1914, Guillaume Kostrowitzky, sujet russe polonais, connu sous le nom de Guillaume Apollinaire, signe son engagement pour la durée de la guerre. Il a choisi de défendre la patrie dont il a épousé la culture et la langue. Désormais, il se vivra double, poète et combattant.
Le 6 avril 1915, Apollinaire arrive sur le front de Champagne, à Mourmelon-le-Grand reçoit son baptême du feu dès l’arrivée au front. La souffrance et l’horreur iront ensuite croissant jusqu’à la blessure de mars 1916 au Bois des Buttes. Artilleur, puis fantassin, il participe à la 2e offensive de Champagne (25 septembre – 6 octobre 1915).
Sous-officier promu officier, il se distingue, comme le souligne la citation qu’il reçoit en juin 1916. De son côté, le poète Apollinaire fourbit ses armes : la rêverie, la correspondance, l’amour de sa fiancée Madeleine Pagès, le dessin, la poésie. Ce sont des armes défensives, comme les masques à gaz, le camouflage, le bleu de l’uniforme, omniprésents dans toute sa poésie du front. Il nourrit sa création des réalités guerrières : il les poétise, sans les magnifier, « afin que la beauté ne perde pas ses droits ».
11 novembre 2008 90ème anniversaire… il ne s’agit pas de célébrer la victoire de 1918, mais la fin de la dernière guerre d’ordre essentiellement européen, même si celle-ci a connu d’importants prolongements mondiaux.
Ce travail n’aurait pu se faire sans l’aide de Pierre Marcel Adema qui m’a présenté la vie de G. Apollinaire mais aussi, Michel Décaudin et Laurence Campa, tous trois spécialiste, du poète.
Prise de son : Yves Berrier / Régis Blanchard. Montage sonore : Régis Blanchard.